Avsnitt

  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Google est le seul Saas qui connaît un taux de churn de 0%

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 84ème épisode, posons la question que personne ne se pose: Google est-il un SaaS qui ne dit pas son nom? Vous savez ces briques logicielles de service hébergées sur le cloud et qui conaissent une croissance à 2 chiffres.

    Google, c'est un peu tout ça, mais en bien mieux finalement

    1 - Quel modèle fonctionnel? Google se positionne comme un modèle SaaS hybride avec d'un côté une plateforme cloud, 100% accessible et bénéficiant de montée de version et de l'autre côté du on premise avec Editor et certaines fonctionnalités accessibles uniquement pour une partie des annonceurs

    En filigrane en revanche, c'est la consécration du nudge marketing: affichage d'un taux d'optimisation compte; mise en place des onglets recommendations & insights; diffusion d'alertes en rouge type "limité par le budget" etc. Un bon moyen pour forcer la main aux annonceurs dans le déploiement des dernières nouveautés

    2 - Quel modèle économique? Là aussi, Google se positionne dans un entre-temps. D'un côté, la plateforme est accessible sans engagement, ni minimum de dépenses; avec un pricing qui est le même, peu importe l'annonceur.

    D'un autre côté, Google impute des frais d'exploitation à hauteur de 2% des investissements media, la traduction de la taxe Gafa et exploite toujours SA 360, une brique logicielle permettant de faire du multi-campagne

    3 - Quelles barrières à l'entrée? C'est bien simple, il n'y en a aucune à partir du moment où l'annonceur dispose d'une adresse email et d'un moyen de paiement.

    Google a très largement bossé l'UX et la simplification de sa plateforme afin d'en faire quelque chose d'accessible pour les TPE/PME. A preuve, l'existence d'une version intelligente full automatique où le géant de Mountain View prend par la main les petits annonceurs

    4 - Quel support? C'est clairement historiquement l'une des forces de Google. Tous les annonceurs ont accès à un tchat gratuit et à la possibilité de positionner des checks de comptes. Pour les tops annonceurs s'ajoutent le suivi d'account managers. Le tout sans réelles contreparties, si ce n'est d'être en croissance d'investissement

    Notons que Google est en train de revoir ce modèle avec le test d'appels facturés pour les petits annonceurs; l'intégration d'IA à haute dose dans le tchat; le surstaffing des accounts managers

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Croyance: Avec le SEA, nous sommes dans le vert à coup sûr. Par paresse un peu, par minétisme beaucoup

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 83ème épisode, bousculons un mythe encore trop répandu: le SEA serait rentable par nature. Malgré la concurrence accrue, des CPC qui explosent, des audiences qui consomment d'autres canaux.. Pourquoi un tel totem d'immunité?

    1 - Un aveuglement généralisé? Alors que les CPC ont augmenté de 19% en 2023 sur le marché américain, pourquoi les annonceurs continuent-ils à investir massivement en search marketing?

    Une audience captive: Le search marketing, c'est capté les audiences bas de funnel, celles qui sont théoriquement les plus engagées et les plus facilement convertibles. Il faut donc y être pour faire du business, mais aussi pour défendre son territoire de marque. Je ne compte plus les CEO qui checkent si leur annonce SEA apparaît bien sur leur nom de marque..

    Un narratif Google: Depuis quelques années, Google recommande aux annonceurs de ne plus prêter attention aux CPC car ce qui compte, c'est la valeur intrinsèque générée. A raison! Mais manière aussi de faire porter la responsabilité des performances soit sur la qualité des signaux envoyés à l'algorithme, soit sur l'expérience site ou le produit. Ce discours est aujourd'hui largement admis

    L'inertie des organisations: Le service acquisition est souvent l'un des premiers créés dans les organisations. Aussi, faire du SEA est naturel et s'inscrit dans le patrimoine de quasiment chaque boite. Difficile dans ces conditions de remettre en cause sa primeur, surtout qu'il est usité par l'ensemble des concurrents

    2 - Les limites de la mesure? Ne crachons pas la soupe. Le SEA est bien souvent le canal le plus rentable, mais parfois au prix d'une sur-estimation

    Le tracking: RGPD, DMA, fin des cookies tiers... ces embûches n'ont in fine fait que renforcer la position hégémonique des adtechs américaines dont le modèle est basé sur des identifiants logués

    La cannibalisation SEO: Acheter 100% sa marque ou se positionner sur des tops requêtes SEO sans concurrent SEA et c'est autant de valeur détruite. Ces leads auraient pu être générés par le canal organique

    Les revisiteurs: Pourquoi bon sang repayer pour des clients déjà en base que l'on pourrait animer via d'autres canaux. La meilleure façon d'éviter de gaspiller son budget est d'aller chercher des prospects purs... au risque de voir ses CPL augmenter

    L'attribution marketing: Le combo classique: last click & Google Analytics. Le coktail idéal pour sur-pondérer le SEA. Et je ne parle même pas du post-view depuis Performance Max

    3 - Pour quelles alternatives? Sans dire évidemment que Google Ads est un choix par defaut, admettons toutefois aujourd'hui que rares sont les alternatives à présenter autant d'avantages. J'en vois seulement 2

    Les réseaux sociaux qui ont pris le triple virage de l'influence, de la video et du shopping, menés notamment par TikTok. La simplicité de la plateforme publicitaire et les durées de connexion journalières énormes ont fini de convaincre les annonceurs

    Le retail media avec Amazon en tête qui offre aux annonceurs la possibilité d'être présent sur le dernier KM du funnel avec une plateforme qui a copié Google Ads

    Ce n'est d'ailleurs pas anodin si Google accélère sur l'approche conversationnelle avec SGE; l'élargissement de ses inventaires de diffusion et la mise en avant des sources communautaires... autant d'éléments visant à reprendre ce qui marche chez ses concurrents

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    A court terme, une migration de compte est dans 100% des cas destructeur de valeur

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 82ème épisode, abordons un sujet technique qui peut avoir de lourdes conséquences s'il n'est pas maitrisé: la migration de compte. Aujourd'hui, la litterature Google sur le sujet est plutôt mince, il faut donc se fier à son expérience

    1 - Pour quelles raisons migrer de compte? Plutôt rares dans une carrière, ces migrations sont souvent un véritable casse-tête.

    Changement de facturation: Cela m'est arrivé en 2022. Pour avoir des factures différentes par services, j'ai dû créer un compte séparé. Résultat, 2 mois d'apprentissage dans la vue

    Conflit sur la propriété du compte: Il arrive que certaines agences ne veulent pas rendre la propriété du compte à l'annonceur. Dans ce cas, il est parfois nécessaire de repartir à zéro sur un nouveau compte

    Fusion d'entité: C'est mon cas actuellement. Avec la fusion d'entité, il n'est plus nécessaire d'avoir des comptes séparés permettant ainsi de mettre en commun toute la donnée groupe

    Diversifier les approches: La migration de compte peut être utile pour faire du multi-positionnement sur un spectre sémantique; cloisonner les accès en interne sur certains pans du compte ou encore mettre en place des stratégies plus ou moins aggressives de protection de marque avec la conformité de contenu

    2 - Quels impacts?

    Charge de travail: A court terme, c'est souvent chronophage de migrer un compte car il faut recréer les actions de conversions & audience. A moyen terme, s'il s'agit d'une fusion, cela peut être un gain de temps car plus de nécessité de faire les mêmes actions plusieurs fois: consent mode, logo, audience..

    Perte d'historique: C'est évidémment l'enjeu numéro 1. On repart à zéro sur les campagnes et les actions de conversions

    Meilleur partage des données: La fusion des comptes permet d'éliminer le cloisonnement des audiences, des performances et des insights. L'information circule mieux et le temps d'apprentissage diminue

    Multi-positionnement: C'est une stratégie rudement efficace pour capter l'ensemble des parts de marché en permettant de s'afficher plusieurs fois sur une même requête

    3 - Comment bien opérer cette migration? D'abord, il faut éviter autant que faire se peut qu'elle soit abrupte, mais parfois pas le choix

    Migration abrupte: Sans historique aucun et sans relais, il faut raccourcir au maximum la période d'apprentissage en créant des micro-conversions et diminuer l'impact en boostant d'autres sources d'acquisition. Le temps que la campagne fonctionne à plein régime

    Migration en douceur: Mise en place d'un double run, soit en splittant par zones géographiques soit en migrant qu'une partie de l'univers sémantique sur le nouveau compte. Comptez 1 mois sur le temps d'apprentissage

    Dans les 2 cas, le nerf de la guerre reste la communication en interne car forcément une migration est synonyme de destruction de valeur à court terme. Il faut donc réussir à fédérer pendant cette période

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Gartner prédit une baisse du search de 25% d'ici 2026. Nous sommes sauvés!

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft Ads

    En février, Google joue toujours son va-tout sur l'IA

    *Chat GPT dans Bing, quel bilan? Pas de renversement de table sur la répartition du trafic search avec un gain de seulement 1,5 point. La faute à des habitudes de recherche bien ancrées; la riposte de Google avec Gemini ou encore la présence du géant de Mountain View sur toute la chaine de valeur.

    Google vient d'ailleurs de lancer Gemini remplacement de Bard et commence à l'intégrer à l'ensemble de sa suite

    *Encore un peu d'IA au passage? Google vient de déployer aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, ACA permettant la génération d'assets automatiques sur l'ensemble des campagnes grâce à l'IA générative. En mars, c'est au tour de Performance Max de se voir boostée avec le déploiement du modèle Imagen 2, générateur avancé de creas statiques.

    Enfin, notons que Google semble aussi en parrallèle tester un nouveau type d'annonces cards à mi-chemin entre Shopping & SEA classique. Stay turned

    *Nouveaux procès à l'horizon: Les nuages judiciaires s'amoncellent au-dessus de la tête de Google. En septembre prochain, c'est Adsense qui est dans le viseur de la justice américaine pour cause d'abus de position dominante. En parrallèle, 32 medias européens réclament 2,3 milliards de dédomagement au géant américain jugeant que sa main-mise sur la publicité leur a fait perdre des revenus.

    Notons que Google sait rémunérer correctement le contenu quand il le souhaite d'où le deal de 60 millions avec Reddit

    *La fin des cookies repoussée? Plusieurs autorités de la concurrence, mais aussi l'IAB ont rendu un avis négatif sur le protocole Privacy Sanbox pour 2 raisons:

    Il favoriserait la domination de Google qui serait toujours en mesure de tracker les internautes versus ses concurrents

    Il pénaliserait les petits annonceurs avec une baisse de la qualité des ciblages

    *Un pas de plus vers un support boosté à l'IA: Certains annonceurs ont réçu des emails automatiques contenant un certain nombre de recommandations et qui reprend simplement le contenu de l'onglet "Recommandations". En parrallèle, Google teste aussi le déclenchement de proposition de consultation one to one sur la plateforme. Le support semble être un gros enjeux d'optimisation

    *Un meilleur contrôle sur Performance Max? Depuis le 04 mars, il est désormais possible d'avoir accès à l'inventaire de diffusion du réseau partenaire de recherche, une réponse à la polémique suite au rapport d'Adalytics.

    Est-ce la fin de la black box? Un insider chez Google tempère: si la ventillation par canal n'est pas montré c'est pour éviter "d'être trompeur" pour les annonceurs

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    L'IA de Google Ads ne résiste pas au crash d'un import de conversions offlines. Vous avez dit fragile?

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 81ème épisode, je vous propose de vous partager en toute transparence la dernière mésaventure qui m'est arrivée et qui a remis en cause pas mal de certitudes. Ou pour le dire autrement, comment l'arrêt de l'alimentation des conversions offlines pendant quelques jours a levé le voile sur tout un faisceau de fragilité

    1 - Quel crash?

    La veille d'un week-end, l'import des conversions offlines ne fonctionne pas, mettant un brutal et très inhabituel coup d'arrêt à la diffusion de mes campagnes pilotées au CPA cible ou au ROAS. Et ce pour 4 à 6 jours.

    Pire, c'est après plusieurs relances des API de synchronisation, connexion et déconnexion du connecteur entre Salesforce et Google et sollicitation du support IT Google que le branchement refonctionne. Sans raison ni retour d'expérience

    2 - Quel impact?

    * Une redémarrage inhabituellement long, malgré l'exclusion des données, la dégradation des CPA et ROAS cible; la relance des API. L'IA n'est donc pas synonyme de flexibilité. Au contraire

    * Un impact financier de plusieurs dizaines de miliers d'euros pour non difusion, au prix d'un rattrapage intense la fin du mois

    * Une désorganisation sur la chaîne de gestion des formulaires à cause de ces a-coups

    3 - Quel bilan?

    * La faiblesse de Google: Alors que l'on parle d'IA tous les matins, force est de constater que cette non alimentation a mis un frein énorme à la diffusion des campagnes avec une non diffusion pendant 4 à 6 jours. 2 apprentissages majeurs: les campagnes au ROAS mettent plus de temps à repartir; la bascule vers Maximiser les clics et Maximiser les conversions est une bonne chose pour faire redémarrer le moteur

    * La faiblesse de mon set-up: Cette avarie a mis en lumière la fragilité finalement des fondations de mon mix-marketing avec d'un côté des API non monitorées et d'un autre une trop grande dépendance à Google

    4 - Comment éviter que cela se reproduise?

    *Il s'agit d'abord de sécuriser le flux API en mettant en place un monitoring IT avancé et en multipliant les imports. Le passage par une CDP est peut-être une bonne alternative

    * Il est question aussi de diversifier son sourcing afin de ne pas dépasser le seuil de 50% de dépendance vis-à-vis d'une source: parrainage, apporteurs d'affaire, affiliation..

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    L'enjeu majeur pour Google est de résoudre aux multiples checkout, comme une vraie marketplace

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 80ème épisode, abordons le défi que représente le shopping pour Google. Longtemps leader sur cette verticale, le géant américain voit petit à petit des parts de marché lui échapper. Pourtant l'enjeu est de taille. Revue des forces en présence

    1 - Google Shopping, combien de division? Lancé en 2017 et mis en musique en 2012, Google Shopping est rapidement devenu un produit incontournable mixant depuis le confinement du gratuit et du payant dans un onglet dédié et en affichage sur la SERP classique. Une véritable rampe de lancement pour énormement de retailers qui y voient un relais de croissance, bien aidé par Smart Shopping en 2018, une sorte de Performance Max avant l'heure

    Côté sombre, Shopping, c'est 2,4 milliards d'euros d'amende cette année pour cause d' "autoréférencement" qui a abouti à tuer la plupart des comparateurs de prix type Kelkoo. Notons que dans certaines verticales, la résistance existe que ce soit sur les hôtels, les vols ou même les assurances avec une tentative infructueuse de Google

    DMA devrait rebattre pas mal de carte.

    2 - La révolution Performance Max: Depuis août 2023, les campagnes Smart Shopping ont migré dans Performance Max et cohabitent maintenant avec les Shopping classiques. Quel set-up mettre en place?

    Les campagnes Shopping classiques permettent d'avoir un contrôle total sur l'inventaire de diffusion, les formats, les enchères et les produits poussés, là où Performance Max version Shopping prône le tout automatisation avec une plus grande couverture de diffusion au prix parfois d'une moindre diversité de produits

    3 - Amazon, le géant qui emporte tout: Le retail Media, c'est +24% de croissance en 2023, bien porté par Amazon qui représente en France 70% du secteur sur la verticale pub. Les raisons du succès: audiences enrichies; simplicité de la plateforme; moment intentioniste.

    La monétisation d'Amazon Prime devrait accélérer cette bascule, tout comme la dynamique d'équipement des retailers avec des technos types Criteo, Unlimitail ou autres

    4 - Les réseaus sociaux, la nouvelle vague: Le covid a bien aidé les plateformes sociales à prendre le tournant du commerce avec des dispositifs dédiés (boutique), des formats pensés (Advantage +, TikTok Shopping..).

    En mettant à l'honneur des segments affinitaires, des formats bannières et videos et le témoignages sur fond d'UGC, ces plateformes présentent pas mal d'avantages pour les retailers qui investissent des millions dedans

    5 - Et l'IA? Difficile de se projeter encore, mais une chose est sûre: SGE risque de faire la part belle à la recommandation produit en diffusant encore plus de card, de descriptions, de comparatifs de prix.

    Côté plateforme Google Ads, l'IA intégrée permet de produire simplement et efficacement des assets creatifs statiques et videos.

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Croissance à 2 chiffres, mais plan de licenciement... comprenne qui pourra

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft Ads

    En janvier, Google a multiplié les annonces qui dessinent le contour de la stratégie de l'éditeur

    * DMA: Le compte à rebours a commencé avec un déploiement dans 1 mois. Aussi Google commence à durcir un peu le ton en invitant les annonceurs à basculer sur son Consent Mode V2; à importer les audiences et conversions offlines avec une maj des champs synchronisés.. au risque sinon de voir ses campagnes coupées

    * Vague de licenciements: Après 12 000 départs début 2023, Google remet le couvert en se séparant de plusieurs centaines de collaborateurs alors même que la croissance est là. D'aucun penserait que l'IA y est un peu pour quelque chose, d'autant que l'on sait qu'il y a un test en cours pour injecter plus d'intelligence artificielle dans le support.

    * Bilans financiers: +8% de croissance pour Microsoft; +12% pour Google; +27% pour Amazon.. Les divisions publicitaires des géants américains ont pu feter un dernier trimestre 2023 en trombe. Pour la firme de Mountain View, c'est même Youtube qui s'en sort le mieux avec 15% de progression

    * Déploiement de l'IA Conversationnelle: Aux Etats-Unis et en Angleterre, il est désormais possible de créer une campagne Google Ads à l'aide de prompts. De quoi casser les barrières à l'entrée et favoriser la prise en main de l'outil par les petits annonceurs

    * Updates sur les annonces RSA: Google passe la vitesse supérieure sur RSA. Désormais il est possible de n'afficher qu'un titre; d'avoir des titres & descriptions au niveau campagnes et même d'avoir des éléments dynamiques types sitelink ou extension d'image au niveau compte

    *Des CPC qui explosent: +19% en 2023 sur la verticale e-commerce/retailers. La faute à la concurrence; à la démocratisation de Performance Max; mais surtout à l'automatisation qui aboutit à la perte de contrôle des CPC par les annonceurs

    * Un niveau de fraude au sommet: 75% des tops annonceurs auraient été victimes d'usurpation d'identité en 2023 via du phishing ou des annonceurs trompeuses sur Google Ads, idéal pour augmenter la méfiance des internautes. Rappelons toutefois que le SEA est le canal le moins frappé par les faux clics, seulement 5%

    * Update chez Microsoft: Le géant lance un outil de génération de crea automatique à l'aide d'une URL, de quoi bien aider les e-commerçants. En parrallèle, il est désormais possible d'importer les campagnes Google Performance Max en 2 clics

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Est-ce la fin de l'ère des agences?

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 79ème épisode, questionnons le rôle des agences SEA. A l'heure du tout automatisation, de la simplification de l'interface Google Ads et de l'introduction à grande ampleur de l'IA, ont-elles encore leur place? Plus que jamais

    1 - Comme garde-fou vis-à-vis des recommandations Google: L'autonomisation, le machine learning et depuis peu l'IA font que désormais la majorité des comptes sont en mode pilotage automatique. Pour le meilleur, mais aussi pour le pire. C'est souvent une bonne excuse pour ne plus pousser l'analyse en profondeur. La pertinence des agences est précisement là: challenger les recommandations (automatiques) faites par Google et battre en brèche l'approche "bonnes pratiques" pour faire des recommandations réellement adaptées aux annonceurs

    2 - Comme machine à produire du contenu: Performance Max avait déjà annoncé la couleur, mais avec SGE demain, ce sera pire: fini le tout textuel, place désormais aux contenus multimedias. Et peu d'annonceurs sont aujourd'hui capables d'industrialiser l'approche creative. Les agences peuvent aider à mettre en place cette chaine de valeur en produisant des assets qui performent

    3 - Comme experte de la donnée: Les agences SEA doivent accompagner les annonceurs dans leur montée en maturité sur la gestion et activation des données pour mieux alimenter l'algorithme Google et ainsi aider à la prise de décision. Comment mesurer les uplifts de campagnes? Comment basculer sur un vrai pilotage à la valeur? Quel modèle d'attribution privilégier?

    4 - Comme aide pour passer à l'échelle: Rares sont les annonceurs à pouvoir se payer le luxe d'avoir plus d'un temp-plein sur le pilotage des campagnes SEA. Les agences peuvent permettre d'accompagner la croissance des start-up/scale-up en apportant un renfort ponctuel ou en se positionnant en back-up. Egalement, c'est l'occasion de profiter d'un ecosystème riche: conférences, rencontres, accès aux AM Google dédiés, retours d'expérience clients

    5 - Comme tiers de confiance pour le tracking: Pas facile de retrouver ses petits avec toutes les limitations concernant le tracking. DMA & la fin des cookies tiers ne devraient rien arranger. Aussi, l'agence SEA peut trouver un positionnement intéressant pour être tiers de confiance et accompagner les annonceurs dans la mise à jour des protocoles de tracking, mais également l'analyse des données remontées

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Avec l'IA Generative, difficile d'avoir de la visibilité à plus d'un mois

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 78ème épisode, faisons un peu de prospective en essayant d'identifier les grands enjeux du search marketing pour l'année à venir. En 2023, le focus était sur Performance Max, l'IA et le pilotage à la valeur, quid pour 2024?

    1 - SGE, un tsunami? Même si SGE n'est pas encore déployé en France, quelques premières études commencent à émerger et à montrer l'impact de son usage (baisse duCTR SEO; renouvellement des liens organiques; captation forte de l'audience)... Au point d'en faire in fine une réelle menace pour les directions marketing. Côté consultant SEA, c'est plutôt une aubaine puisque cela vaut dire plus de liens payants

    2 - L'IA à tous les étages? Alors que Microsoft a depuis plusieurs mois intégré ChatGPT dans son moteur de recherche et que Google a lancé en grandes pompes Gemini en décembre, les comptes SEA sont de plus en plus alimentés à l'IA. DSA & Performance Max avaient déjà ouvert la voie, mais désormais l'IA generative est aussi proposée dans la construction des annonces, bannières, videos et demain des campagnes. Prochaine étape: un support alimenté à l'IA pour les questions premier niveau

    3 - La fin du tout textuel: Depuis quelques années déjà, Google introduit de plus en plus d'éléments graphiques dans ses inventaires de diffusion classiques et avec SGE cela devrait s'accélerer fortement. En parrallèle, les inventaires Youtube ou Discover représentent une véritable fenètre de croissance à conquérir. Les annonceurs qui arriveront à craker l'industrialisation creative auront un coup d'avance

    4 - Le tracking, la mer de toutes les batailles: Bien alimenter les algorithmes ne va pas être une mince affaire. D'abord avec DMA qui entre en vigueur le 06 mars prochain et va nécessiter un peu de boulot: mise à jour du tag de consent mode; de la politique cookie; GA 4... Ensuite avec le test de suppression des cookies tiers sous Chrome, manière de compliquer un peu plus la tâche des annonceurs. Solution: un tracking first party connecté au CRM

    5 - La bataille de l'expérience client: Explosion de la concurrence; enchères manipulées par Google; CPC qui augmentent... les annonceurs s'habituent tant bien que mal à la dégradation des CAC. Pour contrer cette dynamique, la bataille se joue désormais à l'extérieur. D'abord dans la construction d'une marque forte et désirable; ensuite dans la proposition de tunnels et parcours sans friction

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    1 seule règle en SEA: toujours remettre en question les croyances d'il y a plus d'un an

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 77ème épisode, je reviens de manière pragmatique sur les actions qui ont généré le plus d'impact sur les comptes que je gère en 2023. Au-delà de toute la litterature que l'on peut lire, rien ne vaut la mise en production pour juger de la pertinence des différents tests

    1 - La généralisation de DSA: Après avoir pendant longtemps piloté DSA dans des campagnes dédiées pour plus de contrôle, j'ai testé cette année l'intégration de ce dispositif en adgroup. Et ça fonctionne! Pour augmenter le spectre de diffusion et s'assurer de couvrir la longue traîne. Le pré-requis étant d'avoir des pages très fournies en contenu et penser aussi toute la mécanique H1 et balise title

    2 - Investir dans Performance Max: A date, Performance Max représente 1€ sur 2 que j'investis. Les performances sont très bonnes, mais on est loin de la campagne 100% automatique. Pour réussir, il faut passer du temps sur la construction des audiences, l'optimisation des annonces, la création de groupes d'éléments granulaires...

    3 - Li'ndustrialisation de la production creative: A date, le niveau des annonceurs est plutôt faible sur le volet creatif, il y a donc une place à prendre. Avec 500 creas intégrées cette année, chartées et pensées avant tout à la performance, j'ai vraiment senti l'effet positif de fournir à l'algorithme ces éléments videos. Prochaine étape: l'industrialisation des videos

    4 - Arretons de basculer automatiquement sur ROAS: J'imagine que cela doit fonctionner pour certains annonceurs en lead gen, c'est d'ailleurs le cas chez moi sur 1/3 des campagnes. Mais bien souvent, mettre en place le ROAS relève de la tannée: compliqué à modéliser; long à tester; et parfois inefficace. En 2023, j'ai trouvé plus de valeur à splitter mes campagnes en fonction des segments discriminants que sont la localisation, le device ou l'âge

    5 - Moins de campagnes: Mon set-up actuel vise à l'efficacité: 1 campagne SEA, 1 campagne Performance Max pour couvrir le haut du funnel, 1 campagne Demand Gen pour adresser les audiences affinitaires et 1 campagne retargeting. Moins de campagne, c'est souvent moins de temps perdu

    6 - La bascule vers le large pour les mots-clés: Résolumment contre il y a 2 ans, j'ai évolué sur ce sujet à mesure que Google gagnait en précision. Aujourd'hui, sur 100% des comptes que je gère, j'ai le bundle exact et large permettant ainsi de couvrir tout le spectre sémantique pertinent en fonction des intentions de recherche. Evidemment, je borne cela avec des dizaines de miliers d'exclusion

    7 - Les AB Tests de redirection: Par confort peut-être, je n'ai jamais trop testé les redirections, alors que cela reste la base du métier. En 2023, j'ai lancé pas mal de tests et ai essayé d'optimiser mes LP pour essayer de faire baisser le taux d'abandon et améliorer le taux de conversion SEA. Dans 2/3 des cas, j'ai trouvé un uplift permettant ainsi de réduire le CPA

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Fin des cookies tiers et sacralisation de l'IA avec Gemini... nous sommes à un tournant dans nos SERP

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft Ads

    En décembre, pas de repos pour Google qui avance ses pions sur l'IA et la fin des cookies tiers

    *La fin des cookies tiers: Le 4 janvier, Google Chrome a commencé son 1er POC en supprimant le suivi des cookies tiers pour 1% de son audience. L'objectif: tester l'afficacité de la Privacy Sandox qui devrait remplacer les cookies tiers en clusterisant les internautes en fonction des sites visiteurs. Un rattrapage alors que Mozilla & Safari ont déjà franchi le pas depuis longtemps

    *Lancement de Gemini: C'est en grandes pompes que Google a lancé début décembre Gemini, son LLM multimodal. Manière de dire au marché que les SERP en 2024 seront alimentées à l'IA et orientées video, textes et images

    *Update sur les partenaires du réseau de recherche: Après les révélations du rapport Adalytics montrant que certains annonceurs statutaires étaient diffusés sur des plateformes de très mauvaises qualité, Google a opéré un micro-rétropédalage sur ses partenaires de réseau de recherche. Jusqu'au 1er mars, il est possible de demander de ne plus être diffusé sur cet inventaire sur l'ensemble des campagnes. Le temps que les ingénieurs de Google optimisent la qualité de l'inventaire

    *Google en pleine restructuration: Malgré 11% de croissance de CA au dernier trimestre et un plan de départ volontaire de 12 000 personnes en début d'année, Google a annoncé vouloir restructurer sa division publicitaire. Grâce à l'IA, l'Américain est désormais beaucoup plus efficace avec des recommandations automatiques à tout-va. Il risque donc d'y avoir encore de la casse...

    *Quel avenir pour le support Google: Google continue son test d'un support payant pour les petits annonceurs et en parrallèle y intégrant de plus en plus d'IA. A court terme, on risque ainsi de voir s'appliquer le modèle Saas: des réponses automatisées pour un niveau 1 et un accompagnement humain tarifé

    *Google multiplie les tests: Certains annonceurs ont remarqué que Google intégrait automatiquement des titres dans les descriptions de leurs annonces. Des tests qui ont lieu sans en avoir averti les principaux intéressés. Encore un signal faible qui annonce que 2024 sera l'année de l'automatisation à tout crin

    *Du nouveau côté video: D'un côté, Google simplifie la réservation d'emplacements Youtube dédiés type Lineup ou Masthead directement dans la plateforme avec un CPM fixe; d'un autre côté les campagnes VRC supportent désormais les formats infeed & shorts

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Don't be evil... sauf quand cela nous arrange

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 76ème épisode, je vous propose de nous faire mal en listant les situations où il y a un clair désalignement entre les intérêts Google et les nôtres. Je vous laisse deviner où penche la balance

    1.La diffusion sur des emplacements pourris : Grâce à sa régie Google Adsense, le géant bénéficie aujourd'hui du plus grand inventaire display qu'il s'agit de monétiser. Ajoutons à cela l'obscure "partenaires de recherche" et nous avons là un coktail détonnant qui peut non seulement faire baisser les performances des annonceurs, mais surtout diffuser vos annonces sur des sites non qualitatifs

    2.Le ciblage par intérêt : Lors de la création de campagnes, Google active par défaut l'option "Présence ou intérêt", diffusant ainsi les annonces à des personnes intéressées ou se rendant dans un pays donné. Pour éviter les (mauvaises) surprises, je recommandé d'activer l'option "présence" et d'exclure les pays non pertinents.

    3.La perte de contrôle du CPC : Ironiquement, Google, l'acteur qui a introduit le CPC pour améliorer la qualité des campagnes, sera peut-être celui qui va le supprimer. C'est ce qu'il ressort de 2 tendances récentes: la disparition du CPC de certaines stratégies d'enchères & l'annonce lors du procès antitrust que le CPC était parfois de manière arbitraire augmenter par l'entreprise américaine.

    4.Le budget : Aucun capping au niveau du compte n'est possible, et Google s'autorise parfois à investir jusqu'à 2 fois le budget indiqué. Qui dit mieux?

    5.L’absence d’avertissement lors de la présence de concurrent : Google ne fournit pas d'alertes lorsque des concurrents ciblent votre marque, ni ne donne d'indication sur le positionnement concurrentiel sur les mots-clés marque non achetés. Résultat, pas mal d'annonceurs les achètent en défensif

    6.La fin de l’exact : La fin du broad match modifié et l'extension de l'exact ont élargi le spectre sémantique, privant les annonceurs d'un contrôle sémantique total. L'exact selon Google inclut désormais des variations orthographiques, les pluriels, les abréviations, lesaccentuations, et même les mots apparentés.

    7.La taxe GAFA: Google a réagi à la taxe GAFA en imputantune taxe de 2% sur les factures des annonceurs, au lieu de supporter la totalité. En contraste, Microsoft a pris en charge la totalité de la surtaxe.

    8. Le CTR avant tout : Google pousse les annonceurs à adopter des annonces qu'il juge excellentes. Or en faisant des tests avec ou sans épingles, les annonces excellentes maximisent le CTR; là où les annonces moyennes testées maximisaient le taux de conversion

    9.La mesure : Personne n'aurait l'idée d'acheter à une même personne un produit et de lui laisser le soin de le noter. C'est exactement la situation des annonceurs full stacks Google: GTM, GA 4, Adsense, DV 360, Google Ads... Et difficile de sortir de l'ecosystème Google car même si les API sont ouvertes, le soutien du support s'arrête à la frontière des solutions tierces

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    DMA, et si la révolution passait par le juridique

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 75ème épisode, abordons un sujet facheux: la mise en place de DMA, l'European Digital Market Act, une sorte de RGPD 2ème lame qui promet encore quelques frayeurs

    * A qui cela s'adresse? Tous les annonceurs, mais surtout les 6 gatekeepers que la Commission européenne a désigné: Facebook, Microsoft, Apple, Google... L'enjeu de ce nouveau réglement est d'ouvrir le web et d'intégrer plus de concurrence. Aussi, les internautes auront plus de liberté: interopérabilité des messageries; choix du navigateur par defaut.... Pour les gatekeepers, cela promet des lendemains plus difficiles

    * Quel plan d'action côté Google Ads? Rappelons que 2024 est aussi l'année de la fin des cookiers tiers dans Chrome. Challengeant! Côté Google Ads, le travail a plutôt été bien fait avec la mise en place de webinars, meetings avec spécialistes, petit dejeuner DPO pour alerter les annonceurs sur les futurs impacts de DMA

    Quels sont les 5 grands chantiers?

    1 - S'assurer de la bonne collecte du consentement? Pas de changement avec la RGPD, il faudra être en capacité collecter proprement l'optin cookie de l'internaute, de le stocker et de l'éclairer sur son usage dans la politique privacy prévue à cet effet. Travailler avec une CMP certifiée peut être une bonne idée...

    2 - Mise à jour du consent mode: Sans consent mode à jour, plus de données d'audience et de conversion qui remontent. Ce petit module qui modélise la performance sur l'audience optout sera désormais obligatoire. Pour les annonceurs qui l'ont déjà déployé, il faudra intégrer sa version 2. Au boulot

    3 - Quid de customer match: Il faudra désormais remonter un optin/optout dans l'import des audiences et être clair auprès de ses audiences sur l'exploitation de la donnée CRM

    4 - Quid de GA 4 et des différents SDK/API: Comme si cela n'était pas déjà assez clair, Google a redit l'intérêt stratégique pour les annonceurs de basculer sur GA 4 s'ils veulent continuer de collecter de la donnée d'audience et de conversion. Rappelons que la CNIL ne s'est toujours pas prononcée favorablement sur GA 4, même si le récent accord sur le transfert des données entre les Etats-Unis et l'Union Européenne semble déminer ce terrain

    5 - La balle perdue pour Google My Business (Google Business Profile): Certains annoncent déjà la fin de la suprématie de GMB puisque Google devra vraisemblablement faire un peu de place dans son local pack. A voir

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    En plein procès, Google met le frein à main sur sa roadmap produit

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft Ads

    En novembre, pas d'annonces phares à se mettre sous la dent, mais quelques ajustements techniques bienvenus

    * 1ers feedbacks sur ACA: Ginny Marvin confirme que ce produit doit se concévoir comme un élément additionnel à rajouter aux annonces RSA. La création automatique des annonces repose sur la lecture des mots-clés, LP et annonces déjà existantes

    * 1ers tests ads dans Bing IA & Bard: Côté Bing, on commence à voir remonter les 1ères annonces payantes dans le module Bing IA, de façon assez masquée. Côté SGE, il y a aussi pas mal de tests en ce moment avec l'apparition par exemple d'annonces SEA en milieu de SERP ou dans la rubrique "You may also ask"

    * La fin de Store Sales Direct: Google continue sa stratégie de simplification en tuant progressivement tous ses produits de niche afin de les intégrer à des produits plus globaux. C'est le cas de Store Sales Direct qui n'est plus disponible à la création

    * Disponibilité de l'inventaire Youtube Short: Pour concurrencer TikTok, Google a lancé les Youtube short et les monétise à grande échelle depuis peu. Pour les avoir tester, c'est plutôt un succès sur la mémorisation

    * Youtube fait la chasse aux Adbockers: Google rend sous-optimale l'utilisation de Youtube aux utilisateurs de bloqueurs de pubs en rajoutant un lag de 5 seconds. Malin

    * Google met à jour la politique de localisation: Il ne sera ainsi plus possible de promouvoir les établissements fermés ou non reconnus.

    * Performance Max se met à l'IA: Google déploie progressivement une version ChatGPT de Performance Max où il sera possible à l'aide d'un simple prompt de générer des annonces et assets créatives. En parrallèle, il a lancé l'outil Product Studio permet la génération de créas pour les e-commerçants

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    Microsoft aurait proposé 100% de ses revenus publicitaires à Apple pour être le moteur de recherche par defaut sur Safari, sans succès. Dur!

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 74ème épisode, évoquons les relations ambigues entre Apple et Google. Côté pile, les 2 géants se font la guerre sur le positionnement d'entreprise et côté face, elles coopèrent. Retour sur 3 cas

    * Google rémunère Apple pour être présent sur Safari: C'est sûrement l'annonce du procès antitrust en cours. Google remunèrait chaque année Apple à hauteur de 18 milliards de dollars pour être le moteur de recherche par defaut sur Safari, soit 36% de ses revenus publicitaires ainsi générés. Des accords similaires existent d'ailleurs avec Samsung & Mozilla.

    Est-ce illégal? C'est tout l'enjeu du procès. Je note toutefois que Microsoft a essayé d'établir ce même type d'accord sans succès.

    Quoi qu'il en soit, pour Google et Apple ce partenariat est ultra stratégique, de manière à ce que les 2 puissent conserver leur position de leader

    * Apple met des batôns dans les roues à Google pour le tracking: En se positionnant très tôt comme l'acteur qui défend les données personnelles, Apple s'est constitué comme l'anti-Google. En 2017, premier coup dur avec le déploiement d'ITP qui vise à bloquer les cookiers tiers au-delà de 1 jour. En 2019, seconde lame avec l'ITP 2.1 qui bloque les cookiers first party au-delà de 7 jours. Résultat, c'est devenu un enfer de suivre les résultats sur ses audiences Safari, même si le géant de Mountain View a rapidement déployé des rustines: conversion linker, consent mode, suivi avancé des conversions

    * Pas d'entente sur la partie applicative: Aujourd'hui le marché français est 2/3 Android et 1/2 iOS avec des paniers moyens à l'avantage d'Apple. En conséquence de quoi, la firme à la pomme n'a jamais voulu partager ses inventaires publicitaires à Google et souhaite rester maître dans la gestion de sa régie. Ainsi, pour un annonceur qui souhaite faire de la sponsorisation pour son app, le passage par 2 plateformes media est obligatoire

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬
    Dans Performance Max, on a désormais accès à tout, mais sans toujours avoir les clés du moteur

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 73ème épisode, parlons des sujets qui fâchent: Performance Max semble être de moins en moins une black box. Ce n'est pas encore la panacée certes, mais force est d'admettre que Google nous partage de plus en plus d'éléments nous permettant de comprendre les insights collectés et de mieux piloter

    * Des ambitions enfin dévoilées: Google ne fait plus mystère désormais que Performance Max est sa priorité numéro 1. La preuve, toutes ses campagnes exotiques tendent à migrer progressivement sous Performance Max et sa roadmap produit est plus que parlante

    * Bientôt la maîtrise du spectre sémantique: S'il n'est toujours pas possible de définir les mots-clés sur lesquels se positionner, Google donne quand même une plus grande latitude de pilotage aux annonceurs. Sur les exclusions, l'autonomie est désormais totale. Sur le suivi des performances, le pilotage est désormais au niveau de la requête. Ca progresse

    * Et les inventaires de diffusion? C'est la que le bât blesse encore. Impossible aujourd'hui de décider de la ventilation par canal, ni même d'en couper un. Tout juste Google concède la mise en exclusion de tel ou tel inventaire. Avancée notable cet été avec le script de Mike Rhodes qui permet de voir la ventillation par canal des performances

    * Un suivi des performance plus juste? Désormais le pilotage se veut granulaire au niveau des groupes d'éléments, mais aussi au niveau de l'onglet insights qui délivre des informations utiles sur les causes des éventuelles fluctuations

    * Signaux et audiences, du mieux: Si Google a récemment intégré les thèmes de recherche similaires à des mots-clés, côté reporting, pas mal d'insights sont mis à disposition comme les performances par segments in market et d'affinité

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    L''IA existe depuis 2011 chez Google Ads, cela s'appelle DSA

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 72ème épisode, plein feu sur la campagne Dynamic Search Ads (DSA) qui a été finalement annonciatrice du tournant de l'automatisation et de l'IA chez Google. Depuis la démocratisation de Performance Max, du matching learning et du ciblage large, a-t-elle pourtant encore toute sa place dans notre structure de compte?

    * Back to basics: Historiquement DSA a été créé pour permettre aux gros retailers de gagner du temps dans la gestion de leurs comptes SEA et pouvoir ainsi indexer l'ensemble ou une partie de leur catalogue produits en 3 clics. En parrallèle, cette campagne a très vite été utilisée pour travailler la longue traîne et capter toutes les nouveaux requêtes et tendances émergentes

    * Les limites de DSA: En misant il y a 10 ans sur l'automatisation, Google a pris un risque qui s'avère plutôt payant. Seulement côté annonceurs, avec DSA, impossible de contrôler le spectre sémantique sur lequel diffuser et le copywritting des titres des annonces. De manière à limiter toute dérapage, il est nécessaire de multiplier les exclusions, sélectionner les URLS de diffusion et bien travailler la sémantique des pages soumises

    * DSA est-il pertinent aujourd'hui? Pour apprécier son pilotage et gagner en pertinence, je recommande de le positionner plutôt niveau adgroup.

    - Un concurrence du ciblage large? Plutôt un complément pour travailler d'autres typologies de mots-clés et mieux piloter avec un CPA faible

    - Une stratégie d'audience? Pourquoi ne pas activer DSA uniquement pour ses clients & prospects

    - Cheval de Troie de la synergie SEA/SEO: Pour bien diffuser il est nécessaire de penser ses pages pour la conversion

    * Quel imbrication avec Performance Max? C'est ni plus ni moins son successeur, la crea en plus. Si depuis août DSA migre dans Performance Max, celle-ci a repris le fonctionnement du premier avec un spectre sémantique défini par l'algorithme et des annonces générées automatiquement si l'annonceur le désire. Google a d'ailleurs annoncé le lancement prochain d'un Performance Max 100% automatiquement avec création de campagnes, d'annonces et de mots-clés à partir d'une URL. Tiens tiens

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    La fin de la position moyenne, la bascule vers le smart bidding généralisé, la disqualification du QS sont autant de facteurs, pensés ou non, qui visent à rendre flou la compréhension de l'enchère

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 71ème épisode, décortiquons le fonctionnement du système d'enchère tel que pensé par Google Ads qui à mesure des années semble devenir de plus en plus cryptique. Suite au procès antitrust Google qui a lieu en ce moment, un certain nombre de révélations nous permettent d'y voir un peu plus clair. Décryptage

    * Rappel des principaes de base de l'enchère: Aujourd'hui, le positionnement de l'annonce repose sur l'agrégation de 6 critères: l'enchère, la qualité des annonces, les seuils minimum de classement, le contexte de recherche, la compétitivité de l'enchère et l'impact des composants... rendant tout cela flou. D'autant que Google écrit noir sur blanc dans son support: " En règle générale, l'annonce la mieux classée apparaît en première position.."

    * Alors pourquoi on n'y comprend plus rien? Plusieurs raisons à cela:

    1 - La suppression de la position moyenne comme KPI remplacé par le taux de top position et le taux de top position absolu rendant ardue la compréhension

    2 - La disqualification du Quality Score qui avait le mérite de la simplicité

    3 - Le sentiment chez la plupart des annonceurs que la montée inexorable des CPC n'était plus tout à fait correlée à la concurrence

    * Quid du système actuel de RGSP (Randomizer Generalized Second Price Auction)? Ce système à la seconde enchère qui vise théoriquement à faire payer au 1er, 1 centime de plus que le deuxième a été mis à mal lors du procès actuel.

    En effet, on a ainsi appris qu'un critère obscure comme la Life Time Value d'une campagne était pris en compte par l'algorithme aboutissant parfois à la situation baroque de mieux positionner le 2ème enchérisseur.

    Pour Google, c'est un bon moyen d'améliorer sa marge à moyen terme mais aussi une façon de proposer un contenu de qualité sur sa plateforme, critère essentiel pour garder un public captif.

    Mais alors pourquoi ce système est-il injuste? D'après les tests du Département de Justice américain, pour s'assurer la 1ère position quoi qu'il en soit, l'annonceur devrait être prêt à avoir une enchère 3,7 fois supérieure à la seconde enchère! Inténable

    En creux, les acteurs de l'écosystème semblent s'inquiéter d'un système d'enchères qui repose sur des variables de plus en plus incompréhensibles prêtant ainsi le flan aux critiques sur la mise en place d'un modèle opaque qui finalement profiterait surtout à Google et aux top annonceurs

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Avec SGE, une chose est sûre: Google sera encore une fois le grand gagnant

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Chaque mois, je reviens sur l'actualité et les annonces Google Ads & Microsoft Ads

    En octobre, on fait le focus sur les chiffres de croissance de Q3, ainsi que des différentes annonces produits

    * Quelle croissance? +11% pour Google, +10% pour Microsoft. Tout baigne dans le meilleur des mondes. Seulement, côté Moutain View, le cours de bourse a dévissé car la traction de sa division Cloud est moins importante que prévue. Bref, est-ce quand même la fin de la crise et le retour des investissements publicitaires?

    * SGE arrive: qu'en attendre? Si Google multiplie les tests rendant ainsi encore difficile les hypothèses sur la devenir de la SERP, 2 choses sont sûres: les tops positions SEO seront moins cliquées qu'avant; et le primat ira aux annonceurs qui arriveront à produire du contenu de qualité et en formats variés (videos - infographie - études - baromètres...)

    * Google prépare la fin des cookies tiers: Si le test sur Chrome débutera début 2024 sur 1% de la population, Google Ads déploie déjà un outil à la main des annonceurs pour leur permettre de piloter leurs données 1rst party: data manager. Ce hub permettra de brancher la tuyoterie avec les données de l'entreprise et faciletera le reporting de campagne

    * Microsoft se met à la page: Déploiement généralisé des stratégies CPA cible et maximiser les conversions (je pensais que c'était déjà le cas!) & intégration de la brique Dall-E dans Bing tchat permettant ainsi la génération de crea

    * Déploiement de Demand Gen: Désormais, tous les comptes peuvent déployer cette nouvelle campagnes. A noter que les campagnes Discovery Ads ont aussi basculé sur le format Demand Gen au cours du mois. Pas d'impact sur l'évolution des performances de mon côté

    * Performance Max se dote des thèmes d'emplacement: Nouveau signal qui arrive dans les campagnes Performance Max avec l'introduction des thèmes, à la manière de ce qui est possible de faire pour les campagnes display. Limite: 25 par groupes d'éléments

    * Déploiement de la VR: Google permet aux annonceurs beauté d'intégrer une expérience en réalité augmentée dans le flux shopping de certaines typologies de produits

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  • 💡Une phrase à retenir ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    La Google dépendance, c'est le mal du siècle pour 80% des boîtes

    📢L'épisode du jour ▬▬▬▬▬▬▬▬▬▬

    Pour ce 70ème épisode, je continue la série en me mettant dans la peau d'un leader de marché pour qui le SEA reste le canal d'acquisition n°1 et qui est à l'origine de plus de 50% de son flux de leads.

    * Quel budget investir? Forcément cela se comptera en millions et aura tendance à progresser chaque année réduisant ainsi la marge relative. Tout l'enjeu sera de réussir à maintenir des volumes de leads énormes tout en restant rentable sur chaque ligne de produit. Pour ce faire, un gros focus doit être réalisé sur l'optimisation des parcours clients afin d'enlever toutes les frictions possibles

    * Quelle approche mots-clés? Dans cette situation, l'annonceur doit grosso modo se positionner sur tous les mots-clés intentionnistes types produits, génériques ou concurrents avec un bundle exact et large. Pour élargir le spectre sémantique, je recommande d'intégrer DSA dans chaque campagne et de procéder tous les 3 mois à de l'enrichissement de mots-clés

    * Quel copywritting? L'avantage d'avoir un budget important est de pouvoir beaucoup tester et ça c'est game changer. Il faut donc ne pas hésiter à déployer différents wordings d'annonce et surtout à utiliser les arguments massue: notoriété de la marque - positionnement de leader - avis clients..

    * Quid de Performance Max? C'est évidemment un canal à considérer et à activer permettant ainsi d'être diffusé sur des inventaires moins concurrentiels tout en s'affichant auprès des clients de ces mêmes concurrents grâce aux segments personnalisés. Pour que cela fonctionne, il n'y a pas de secret: des creas de qualité et une hyper segmentation des groupes d'éléments

    * Quelle expérience client? Parfois il peut y avoir une décorrelation entre les budgets investis et le temps passé à optimiser l'expérience client, alors qu'ils devraient être dépendants. Plus on investit sur Google et plus les organisations auraient intérêt à bannir toutes les frictions sur leurs tunnels de vente. Un trick facile: multiplier les points de contact sur ses landing pages types numéro de téléphone entrants - prise de rendez-vous - tchat - whatsapp

    * Comment sortir de la Google dépendance? Avoir plus de 50% de son flux généré depuis 1 seul canal d'acquisition représente un danger pour les organisations en cas de changement de règles du jeu. Pour contrer cela, il est nécessaire de diversifier son mix marketing et de mieux capitaliser sur son sourcing interne

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