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  • Après Bruxelles, Lisbonne, Accra, Bucarest et Beyrouth, notre dernier tour de la saison vous embarque sur le continent africain : suivez-nous à Dakar, la bouillonnante capitale du Sénégal et de la teranga, l’hospitalité légendaire du peuple sénégalais ! 


    Ces dernières années, la population dakaroise a explosé pour atteindre près de 4 millions d’habitants, faisant de Dakar une mégalopole africaine, cosmopolite, moderne et ouverte sur le monde avec ses nombreuses diasporas. Et si Dakar est connue pour être un pôle d’attraction commercial et maritime du continent africain aux portes de la mer, la capitale sénégalaise s’affiche aussi comme un véritable hub pour la créativité et l’innovation, toujours à la pointe des nouvelles tendances artistiques. Dakar est aussi une ville de caractère. C’est là, par exemple, qu’est né Y’en A Marre en 2011, ce mouvement citoyen contestataire mené par des rappeurs et des journalistes. C'est là aussi qu’a vu le jour le premier Festival Mondial des Arts Nègres voulu par le président Léopold Sédar Senghor en 1966, invitant penseurs et artistes panafricains et afroaméricains - de Aimé Césaire à Duke Ellington - à célébrer la fierté noire et la créativité africaine.


    Célébrer la créativité africaine, c’est justement le mantra du Dakar Music Expo, un événement hybride entre salon et festival dont la 2e édition avait lieu à Dakar du 17 au 21 juin dernier. Au programme : concerts, showcases et conférences, l’occasion rêvée pour les artistes invité.e.s comme pour les professionnels du secteur des musiques actuelles de se rencontrer, d’écrire à plusieurs mains de nouveaux récits pour la musique ouest-africaine et d’inventer ensemble des futurs désirables. Répondant à l'invitation du Dakar Music Expo, Jeanne Lacaille n'a pas pu s'empêcher toutefois d’emprunter quelques itinéraires bis et autres chemins de traverse. 


    Voilà comment, au fil des deux prochaines heures, nous irons aussi : rencontrer Max et Maha qui militent pour la protection de l’environnement et un Dakar plus vert, tout donner sur le dancefloor à la découverte du Dakar électronique, rider l’Atlantique avec la pionnière du surf sénégalais et future championne olympique Khadija Sambe, parler beatmaking avec The Ay Girl, la première beatmakeuse du Sénégal ou encore visiter le Musée des Civilisations Noires, très engagé sur la question des restitutions des œuvres d'art sur le continent africain. 


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  • Nova cale sa fréquence dans le nord-est du Brésil, entre Belem et Fortaleza, dans l'État du Maranhao et sa capitale São Luís. Une ville toquée de reggae au point d’avoir créé en 2002 une journée municipale du reggae et ouvert en 2018 le premier musée à ce rythme jamaïcain. Un amour si grand qu’on a surnommé São Luís, “la Jamaïque brésilienne” avec des codes bien précis et notamment la danse, qui vous allez le découvrir est singulière et féconde.


    Avec nous, des activistes de la scène reggae de São Luís : Ademar Danilo et Fauzi Beydoun du groupe Tribu de Jah mais aussi le musicien français et grand amateur de reggae Blundetto.


    Une émission d'Isadora Dartial réalisée par Lucile Aussel.


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  • Ce samedi, Nova autour du monde cale sa fréquence dans les salles obscures.


    C’est de radio au cinéma dont il est question. Quel est son rôle dans la fiction ? Qui l’écoute? Depuis quand les transistors ont fait leur apparition sur grand écran et que nous raconte t-elle ?


    Des questions qui nous offrent un beau prétexte pour faire revenir sur nos ondes une voix qui nous a longtemps parlé de musique au cinéma dans son émission "Nova fait son cinéma", celle de Nicolas Saada.

    Aujourd'hui scénariste et réalisateur, il a accepté de nous guider sur la fréquence du 7ème Art.


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  • Ce matin sur Nova, on tend l’oreille, on s’immobilise pour suivre les pas des cueilleurs de sons, ceux qui écoutent et partagent avec nous la belle symphonie de ce que l’on appelle le vivant. Lors du premier confinement en mars dernier, le silence des hommes a permis à cette même partition de se faire entendre et même de nous rassurer. Bloqués, nous observions, prêtions attention à ce grand tout. 

    Depuis près d’un siècle, des scientifiques, des ingénieurs du son, des musiciens ont observé et diffusé ces paysages sonores —transmetteurs d’une bande-son sans cesse en mouvement et vouée en partie à disparaître.

    Sur disques, parfois à la radio, via des installations, ces écosystèmes atteignent les oreilles des humains. Pendant une heure, sur Nova, Isadora Dartial vous invite à découvrir ceux qui se sont calés sur cette fréquence, celle de la nature et du vivant. 


    Pour en parler avec nous, l’un des grands audio naturaliste français, Fernand Deroussen, une drôle de radio qui a vu le jour en 2013 sur le net et fait brillamment vibrer les ondes du vivant, elle s’appelle Phaune Radio, présentée par l'une de ses fondatrice Floriane Pochon, et pour se familiariser avec ces “cueilleurs de sons “, nous serons avec Jean Yves Leloup, journaliste, designer, musiciens qui sortira en octobre prochain « Ambient Music : de Brian Eno à Hollywood » paraîtra en octobre chez Le Mot Et Le Reste.


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  • Nova est de retour sur les routes. Deux heures pour prendre le pouls d’une ville, cette semaine direction Beyrouth. 


    Beyrouth, capitale du Liban, deux ans après la révolution d'octobre 2019 et huit mois après l’explosion qui a ravagé les quartiers proches du port. Livrée à elle-même, la société civile, gorge serrée, s’organise et nettoie les dégâts. Que deviennent ces artistes, ces citoyens devenus activistes ? Comment continuer à créer quand tout s'écroule ? 


    De Geymaysié à la place des martyrs en passant par le Biel, je vous invite à découvrir cette ville dont les murs portent les cicatrices d’un pays meurtri. Partons à la rencontre de ceux qui ont décidé que le beau, la création, l’action l’emporteraient vaille que vaille.


    Avec le soutien de l'Institut Français du Liban.


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  • Ce samedi, Radio Nova se cale sur les fréquences de radios qui ont fait de leurs ondes un lien essentiel entre ici et là bas. Ici, c’est ce lieu où ces journalistes réfugiés ont trouvé asile. Là bas, c’est chez eux. 

    Un ays dans lequel la situation politique ne permet plus aux médias d’avoir voix au chapitre. Comment continuer à informer, à tisser des liens entre les exilés et les populations restées sur place ?  


    Pendant une heure sur Nova, Fréquence Exil vous présente ces radios. De l’historique Radio Freedom qui officia hors d’Afrique du Sud pendant l’apartheid à la radio syrienne Rozana basée en île de france où nous terminerons cette émission. Tour d’horizon de ces stations et du rôle majeur de la radio. Avec Lina Chawaf de Radio Rozana et Nicolas Boissez de la Fondation Hirondelle


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  • A l’occasion de la journée internationale de la francophonie, Nova surfe sur les ondes des radios francophones du monde qui 

    partagent avec nous leur vision musicale de la francophonie. Des sélections qui nous arrivent de Suisse, Belgique,Tunisie, de la Côte d’Ivoire et du Canada.


    Retrouvez l'épisode 1 ici !


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  • A l’occasion de la journée internationale de la francophonie, Nova surfe sur les ondes des radios francophones du monde qui 

    partagent avec nous leur vision musicale de la francophonie. Des sélections qui nous arrivent de Suisse, Belgique,Tunisie, de la Côte d’Ivoire et du Canada.


    Retrouvez l'épisode 2 ici !


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  • Bienvenue à La Paz en Bolivie. Nova se cale sur la fréquence de la Radio Deseo, une station qui porte sur les ondes boliviennes les voix de Mujeres Creando, un collectif formé depuis les années 90's, connu notamment pour ses actions de rue et graffitis.


    Pour en parler, Isadora Dartial reçoit Kantuta Quiros, théoricienne de l’art et cofondatrice de la plateforme curatoire "Le Peuple Qui Manque."


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  • Au programme d’Autour de Nova, un carnaval sur les ondes dans deux villes indissociables de cet événement qui -, pour cause de pandémie, doit en cette année 2021 se réinventer. Le carnaval c’est une célébration , un moment d’exultation, mais c’est aussi un état d’esprit. Cette année, à Recife au Brésil et à la Nouvelle Orléans aux Etats unis, à défaut de défiler et de danser dans les rues, les maisons se transforment en char et se déguisent et l’esprit , la bande son du carnaval est “On Air”


    Cette semaine, Nova vous invite sur les fréquences de la radio brésilienne Frei Caneca FM à Recife et de l’antenne communautaire basée à la Nouvelle-Orléans WWOZ 90.7 FM New Orleans qui célèbrent le carnaval malgré tout. 

    David Ankers et Maíra Brandão nous racontent comment les habitants de ces villes pérennisent l’esprit carnavalesque, via des créations spontanées.


    Visuel © Radio Nova


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  • Bienvenue à Buenos Aires en Argentine, Nova cale sa fréquence sur les ondes de La Colifataadio erxpérimentale et thérapeutique qui a vu le jour en 1991 dans le jardin de l’hôpital psychiatrique du Borda, à l'initiative d'Alfredo Olivera, qui retrace avec nous l'histoire de cette aventure humaine et radiophonique hors normes dans laquelle se sont embarqués le musicien Manu Chao et le cinéaste Francis Ford Coppola.


    Ce matin Radio Nova vous raconte l’histoire de La Colifata, radio née dans le jardin de l’hôpital du Borda à Buenos Aires, une histoire d'onde qui casse les murs et de micro qui soigne.


    Visuel © Radio Nova


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  • Bienvenue à Détroit. Nous sommes à la fin des années 70, la Motown a déserté la ville pour installer ses studios à Los Angeles. Le cœur musical de la cité industrielle bat aussi faiblement que les machines des usines à l’arrêt. Sur les ondes de WGPR, une voix invite les auditeurs chaque nuit à rejoindre la Midnight Funk Association, un espace radiophonique où les rêves les plus fous deviennent possibles. Cette mystérieuse voix est celle d’Electrifying Mojo.


    Une histoire de radio et de musique que nous racontent ce matin la réalisatrice Jacqueline Caux, qui a consacré en 2006 un documentaire à cette voix culte intitulé “Cycles of The Mental Machine”, et Frédéric de Longueau, sound designer et consultant musical, auteur d’une conférence sur l’influence de The Electrifying Mojo.


    Autour de Nova, Fréquence Détroit, une émission d'Isadora Dartial et réalisée par Malo Williams.


    Visuel © Radio Nova


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  • Nova continue d'arpenter les différents quartiers de la ville d’Accra au Ghana qui vient d'élire son nouveau président en début de semaine…


    Après les studios de producteurs de musique, Nova rend visite cette semaine aux artistes et activistes, ceux qui, vous l’aurez compris, conjuguent art et militantisme. Ce samedi, on file dans le centre d’art

    Nubuke Foundation où l’on retrouve sa co-fondatrice Odile Tevie.


    Les arts vivent aussi du côté de Terra Alta vers Jowulu, c’est là que nous attendent Elisabeth Efua Sutherland, créatrice du lieu et Esse Dabla du festival de hip-hop YoYo Tinz.


    D’art, il sera question également avec Bernard Akoi-Jackson du collectif d'artistes Exit Frame que l’on retrouvera en France à Roubaix cette année pour la Saison Africa 2020, tout comme le groupe de highlife 100 % féminin Lipstick Band qui sera lui invité pour la carte de blanche des Fokn Bois au festival Musiques Métisses d'Angoulême. 

    Pendant ces deux heures, nous ferons un tour au marché de Nima et on écoutera de la musique dans le quartier de pêcheurs de Teshie. On parlera littérature à la bibliothèque L.O.A.T.A.D (Library of Africa and the African Diaspora) et musiques électroniques avec ThMSKD DJ au Alley’s Bar.


    Mais pour commencer, nous vous invitons à reprendre le fil là où nous nous sommes quittés, dans les studios de la radio

    Y Fm, où nous attend l’une des animatrices phares de la station, Nana Akosua Hanson, par ailleurs fondatrice de l’association Drama Queens.

    "Autour de Nova", une émission réalisée avec le soutien de l'Institut Français du Ghana.


    Visuel © Radio Nova 


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  • Cette semaine « Autour de Nova »  vous invite dans l'état ghanéen, pendant deux heures, à déambuler dans les différents quartiers d’Accra, la capitale du Ghana, pour un premier volet résolument musical.


    Le Ghana, on l'a beaucoup entendu par chez nous ces 20 dernières années grâce à de nombreuses réeditions, d'un genre majeur : le Highlife. Ses ambassadeurs s’appellent Ebo Taylor, Pat Thomas, Gyedu Blay-Ambolleh ou encore K. Frimpong...


    Nous partons donc à la découverte du Accra musical, une virée qui nous mène dans les différents quartiers de la ville de Labadi à East Lagon en passant par Osu, ou encore Madina.


    Ensuite, direction les studios de différents producteurs et escale chez quelques têtes d’affiches dans le pays. Ils s’appellent 

    Kuvie, NiiQuaye, Kwame Eboyah, Stonebwoy et Joey B. Tous façonnent le « son » ghanéen actuel, un son que l’on entend sur les ondes de Y FM, radio sur laquelle nous terminerons notre première étape. 

    Visuel © Radio Nova 


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  • Autour de Nova vous emmène dans une Pologne secouée par les manifestations pro-IVG, qui font suite à une décision du 22 octobre dernier prise par le tribunal constitutionnel polonais. 

    En réaction, la DJ Kornelia (Ladies On Records), lance sur Facebook le groupe « Global Female DJ Meeting »qui réunit 1600 membres en 2 mois. Des femmes DJ et productrices du monde entier se mobilisent et composent 2 mixtapes « Polish Women Revolution Tapes Vol. 1 & 2 » avec 29 morceaux de soutien et d’émancipation, produits par des femmes.


    Radio Nova diffuse ces deux mixtapes. 


    Visuel © Izabela Nowak Design 

     


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  • Cette semaine, Autour de Nova pose ses valises au Portugal. Une virée musicale pour comprendre un peu mieux comment Lisbonne depuis presque 15 ans a attiré les oreilles du monde entier. 

    Tout a commencé par un titre, en 2008 qui a affolé les dancefloors : « Wege Wege ». Partie immergée de l’iceberg, Buraka Som Sistema donnait alors à entendre ce qui se tramait dans les banlieues de la ville. Car le battement de Lisbonne, la batida, vient de sa périphérie. 


    C’est d’ailleurs en banlieue, à Quinta do Mocho que nous rencontrerons l’un des grands façonneurs de ce son : DJ Marfox. Avant ça, on vous invite à nous suivre dans différents spots de la ville; du Village Underground où le producteur Batida a ses quartiers, à la galerie ZDB qui fêtait début novembre ses 25 ans. 


    Les acteurs du secteur culturel se mobilisent pour faire entendre leurs voix, on les a rencontré dans un lieu éphémère, la Casa do Capitão. Au micro également, iZem, musicien voyageur qui a élu domicile à Lisbonne et nous embarque avec lui pour une ballade. 


    Aussi des découvertes, comme le jeune artiste Tristany, Mc de Linha do Sintra, qui fait beaucoup parler de lui cette année dans la capitale. Notre road trip à Lisbonne se terminera comme chaque semaine sur les ondes d’une radio locale, cette fois-ci aux studios de Oxigénio dans les hauteurs de la ville. 


    Visuel © Radio Nova 


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  • Que racontent les morceaux de l'ère Trump sur les États-Unis d'aujourd'hui ? 4 heures de selection qui traduisent 4 années d’explorations musicales. 


    Concurrencé par les boys band de K-pop et le reggaeton venu de leurs voisins du sud, le soft power des États-Unis est en perte de vitesse. Leurs rappeurs se mettent à l’espagnol, les charts sont squattées par des morceaux non-anglophones et le Superbowl se paye J.Balvin et Bad Bunny en têtes d’affiche…  


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  • À quoi bon ? Violences policières, bataille pour le climat, menaces internationales…Devant tant d’événements angoissants certains artistes s’engagent, d’autres lâchent l’affaire. Désabusé, le hip-hop se tourne vers les médocs, c’est la musique de la déprime, du rien à faire, du divertissement à tout prix face à l’heure ou tout semble s’écrouler.  

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  • Pour cette deuxième édition Isadora Dartial s'est rendue en Roumanie entre Bucarest et Cluj visiter une scène culturelle bouillonnante. Carnet de route. 

    En partenariat avec l'Institut Français de Roumanie. 


    Arrivée à Bucarest 


    À peine arrivés sur le sol Roumain, on rencontre le DJ Français Traumer. Une très bonne surprise qui nous permet de faire le point avec lui sur la scène minimale locale. Puis on file, à Bucarest toujours, rendre visite à Ion D, ex-danseur/performeur aujourd'hui à la tête du label Future Nuggets. 


    Cluj Acte I 


    Départ pour Cluj, à quelques 400km de la capitale, pour un tour d'horizon de la scène locale. Première escale : le Clujotronic, festival dédié aux arts numériques, qui organisait sa 9ᵉ édition. 

    Nos pas nous guident ensuite vers la Tranzit House, une maison d'artistes existant depuis les années 90. Imaginée comme un lieu de création libre, l'endroit a vu transiter, au cours de son existence, bon nombre d'acteurs du monde culturel roumain.  


    Enfin nous visitons le Centrul de Interes, immense centre d'art contemporain basé dans une ancienne usine réhabilitée. Fondé en 2017 à l'initiative de plusieurs galeristes, le centre présente les œuvres de nombreux artistes italiens et notamment l'œuvre-performance d Alfredo Pirri. 


    Cluj Acte II


    Alors que la nuit tombe sur Cluj, Nova rend visite au crew de Djs Colectiva Gazette, créé suite à la fermeture du club Gazette. On discute aussi avec Heion, un producteur local, qui nous raconte le festival Electric Castle, où il s'est produit au milieu d'un lac enneigé. 


    Dernier arrêt à Cluj chez EBS Radio, avec DJ Blanilla, animateur à l'antenne qui partage avec nous son ressenti sur l'effervescence de la scène électro à Cluj, suivi d'un extrait de son premier show de la saison. 


    Fin du périple 


    Retour à Bucarest, avec Anca Damian. Réalisatrice, productrice et scénariste à l'écriture singulière et dont les films d'animation ont plusieurs fois été primés dans les festivals de film d'animation, nous parle de son dernier film "The Island", en cours de réalisation et de la place des femmes dans l'industrie du cinéma en Roumanie. 


    Enfin, notre virée se termine dans les locaux de Radio Guerilla, premier radio alternative roumaine, qui nous avait envoyé un 

  • Pour cette première édition Isadora Dartial s'est rendue dans le Bruxelles de toutes les expérimentations. Carnet de route.  

    En partenariat avec France Belgique Culture et le Ministère de l'Europe et des affaires étrangères.  


    Un cinéma et un disquaire


    Notre périple débute au centre-ville de Bruxelles, dans un lieu qui partage le même nom que nous : le Cinéma Nova. En activité depuis 1997, la salle projette uniquement des films et vidéos de productions indépendantes, c'est une association non lucrative gérée par des bénévoles. Nous avons d'ailleurs pu discuter avec Gwen et Nicolas, deux volontaires de l'association.   

    Après une première escale dédiée au septième art, nous avions grand besoin de musique, ça tombe bien, sur notre route se trouvait l'Arlequin, un disquaire de la rue de Chêne. Nous avons pris le temps de rencontrer Olivier, le gérant, et de découvrir sa sélection de vinyles.  


    Un concert et une ancienne caserne de gendarmerie


    Il était grand temps d'aller aux Ateliers Claus, un lieu qui abrite ce jour-là  les concerts de "Support your Brussels scene", une initiative de soutien à la scène musicale locale. Aksak Maboul, groupe devenu référence de l'expérimental du plat pays présentait pour la 1ère fois en live son tout dernier disque Figures. Après la performance, nous avons pu discuter avec Marc Hollander, leader du groupe et l'un des fondateurs du label Crammed Discs.  


    On quitte le centre de Bruxelles au profit d'Ixelles et de See U, un écosystème associatif né dans une ancienne caserne de gendarmerie. Le lieu accueille des événements, héberge des associations et est rapidement devenu un place-vive incontournable pour les riverains. Rencontre avec Nadia Desormeaux, chef de projet de See U et Lorenzo Serra, directeur du Listen Festival et de la fédération de la nuit bruxelloise.


    Une chapelle réhabilitée, Crevette Records et Kiosk Radio


    Nos pas nous mènent ensuite vers Les Brigittines, une ancienne chapelle aujourd'hui devenue centre de danse contemporaine. Notre guide est la chorégraphe française Jeanne Brouaye qui prépare actuellement une résidence dans le lieu. 


    Avant-dernier arrêt de nos pérégrinations, le magasin de disques Crevette Records et ses bacs remplis de pépites electro, de classiques et autres galettes rares . On chine et papote quelques temps avant de reprendre notre route. 


    L'aventure s'achève sur les ondes de Kiosk Radio, une fréquence bruxelloise qui émet depuis un parc de la capitale. Aux manettes,