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  • L'heure de la justice

    En mars 2019, Nessrine est renvoyée en France après avoir été arrêtée par les autorités turques à sa sortie de Syrie. Mise en examen pour "association de malfaiteurs en vue d’une entreprise terroriste", elle est immédiatement incarcérée et séparée de son fils et de sa fille. Libérée après un an et demi de détention, Nessrine est aujourd’hui placée sous contrôle judiciaire dans l’attente de son procès où elle risque une très lourde peine. Elle suit une thérapie et tente de se recontruire avec ses enfants.  
    La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
    "Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme. 
    Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.


    Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio

  • L'espoir dans la pénombre

    Fin 2014, Nessrine arrive à Raqqa, devenue capitale syrienne de l’État Islamique. La ville millénaire est paralysée par la terreur imposée par l’organisation terroriste. Les frappes aériennes du régime de Damas et de son allié russe sont de plus en plus fréquentes. Puis viennent celles de la coalition internationale. C’est à Raqqa que Nessrine donne naissance à ses deux enfants. Et c’est pour eux qu’elle trouve la force de fuir Daech.
    La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
    "Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme. 
    Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.


    Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio

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  • Prise au piège dans le djihad

    À son arrivée en Syrie, Nessrine se retrouve rapidement plongée dans la violence. D’abord celle de l'homme qu’elle a épousé sans le connaitre, mais aussi celle des autres Françaises qui l’entourent. Prise au piège, elle ne parvient pas à s’enfuir. Après la mort de son premier mari, et sous la pression des autres femmes de l’État Islamique, elle accepte de se remarier.
    La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
    "Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme. 
    Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.


    Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio

  • Comment une jeune Française a rejoint le djihad

    Nessrine grandit dans un cadre familial étouffant et violent qui lui vaut d'être surnommée « la prisonnière » par ses amis d’école. À l’université, la jeune femme s’isole et se réfugie sur les réseaux sociaux. C’est là qu’elle croise une recruteuse pour des candidat.e.s au djihad en Syrie. Convaincue qu’une vie meilleure l’attend, elle se marie par Skype à un Français djihadiste déjà sur place, quelques semaines après sa radicalisation. Le 9 décembre 2013, âgée de 22 ans, Nessrine embarque dans un avion pour partir en Syrie...
    La cage : une Française dans le djihad Nessrine a passé cinq ans en Syrie au coeur de Daech. Jamais une Française de retour de l’Etat islamique n’a parlé aussi librement et avec autant de lucidité de ce qu’elle a vécu et des motifs de son embrigadement. Une série documentaire d'Édith Bouvier et Céline Martelet, toutes deux grandes reporters et spécialistes du Moyen Orient.
    "Je m’appelle Nessrine, j’ai 29 ans et deux enfants. J’ai passé cinq ans en Syrie dans le territoire de Daech. Je suis en liberté conditionnelle et j’attends l’ouverture de mon procès." La voix de la jeune Française paraît d’autant plus douce que la descente aux enfers qu’elle raconte est terrible. Fuyant une famille violente et oppressante (sa première "cage"), Nessrine, en manque de repères et manipulée par des islamistes, est partie en Syrie en pensant se rendre utile auprès d’un peuple en souffrance. Elle pensait aussi pouvoir y vivre plus librement un Islam radical. Elle paiera cher sa naïveté et son manque de repères, tombant aussitôt entre les griffes de l’État islamique dans une Raqqa mise en coupe réglée. Revenue de tout, après deux mariages avec d’importants djihadistes, elle est la première Française à faire, de l’intérieur, le récit intime et détaillé de la mécanique du monstre terroriste et de son propre parcours. Un éclairage indispensable pour comprendre la mécanique de l'embrigadement et du terrorisme. 
    Édith Bouvier et Céline Martelet sont toutes deux grandes reporters, spécialistes du Moyen Orient. Elles ont publié "Un parfum de djihad" (éditions Plon, 2018), une enquête inédite sur les Françaises de l'État islamique. Elles ont tout récemment remporté le 3ème prix radio pour un reportage à Idlib (Syrie), au Prix Bayeux Calvados-Normandie des correspondants de guerre.


    Enregistrements : juin 21 - Entretiens : Édith Bouvier et Céline Martelet - Prises de son et montage : Céline Martelet - Prises de sons à Raqqa : Noé Pignède, Ali Al Matroud, Faris Thakhera, Mohamed Al Wawi - Musiques : Abdulsattar Ramadam (Oud à Raqqa), The Weeknd « Save your tears », Nea « Some say » - Réalisation et mixage : Charlie Marcelet - Illustration : Raphaëlle Macaron - Production : ARTE Radio

  • Ma cité s'appelait Paganini

    Vivre dans une cité c’est une expérience unique. Un lieu où l’on n’est jamais seul, où l’on ressent une promiscuité parfois pesante, mais qui est aussi un espace d’entraide et de fraternité. Pour les garçons plus encore que pour les filles, elle se révèle comme un terrain d’apprentissage, une école de la vie. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture.   Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.


    Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio

    - Musique originale : Samuel Hirsch

  • Ma cité s'appelait Paganini

    Il y a 35 ans dans un quartier populaire de Paris la cité Paganini sortait de terre. Un ensemble d’immeubles modernes, avec ses équipements, ses services et ses commerces. Aujourd’hui elle n’a plus la même apparence. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture.   Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.


    Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio

    - Musique originale : Samuel Hirsch

  • Ma cité s'appelait Paganini

    En 85, la cité Paganini sortait de terre. A notre arrivée, nous étions tous des gamins et on jouait tous ensemble. En grandissant nous nous sommes séparés, les filles à l’intérieur et les gars à l’extérieur… La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire.A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture.  Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire. « Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.


    Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio

    - Musique originale : Samuel Hirsch

  • Ma cité s'appelait Paganini

    Une cité c’est un petit pays avec son territoire, ses codes, ses valeurs et sa propre langue. Une langue inventée et parlée uniquement par ses habitants, où seul compte le pouvoir des vannes et de la « charriance ».  La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture.   Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.


    Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio

    - Musique originale : Samuel Hirsch

  • Ma cité s'appelait Paganini

    Les embrouilles avec d’autres cités, pourtant en tous points identiques à la nôtre, étaient fréquentes. Les garçons portent sur leur jeunesse un regard lucide. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture.   Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.


    Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio

    - Musique originale : Samuel Hirsch

  • Ma cité s'appelait Paganini

    J’ai grandi cité Paganini, une cité construite dans les années 80 dans un quartier populaire de Paris. J’ai grandi là mais en tant que fille, j’étais à l’écart, comme protégée de la vie de la cité, de la vie nocturne, de la vie parallèle : la vie des garçons et de leurs trafics. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture.   Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.


    Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio

    - Musique originale : Samuel Hirsch

  • Ma cité s'appelait Paganini

    Grandir en cité, c’est surtout un formidable melting-pot. A Paga se croisent sans heurts des familles de Blancs, Noirs, Arabes, Juifs, Antillais, Africains chrétiens et musulmans… Ce sont leurs voix diverses qui animent la série. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture.   Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.« Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.


    Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio

    - Musique originale : Samuel Hirsch

  • Ma cité s'appelait Paganini

    Grandir dans une cité, c’est particulier. On connaît tout le monde et tout le monde nous connaît. On y tisse des amitiés solides, sincères et fidèles – ici de l’école primaire à la quarantaine ! 20 ans plus tard j’ai retrouvé les copains de Paga pour qu’ils me racontent notre cité, leur cité. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture.   Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire.
    « Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. »Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.


    Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio

    - Musique originale : Samuel Hirsch

  • Ma cité s'appelait Paganini

    Il y a 35 ans, ils étaient des enfants, les premiers habitants de Paganini. Ils racontent leur arrivée dans cette cité flambant neuve du XXe arrondissement de Paris. La Cité des hommesSeham Boutata a grandi dans une cité populaire de Paris avec des copains "black-blanc-beur-feuj". 20 ans plus tard, elle a retrouvé et longuement interrogé les gars de sa cité. Un feuilleton à plusieurs voix qui raconte avec verve et lucidité les postures, les parcours et les embrouilles propres à un quartier populaire. A partir du milieu des années 80 et jusqu’au début des années 2000, Seham Boutata habite dans une cité parisienne du XXe arrondissement. Souvent critiquée, fantasmée ou mal considérée, la cité représente pourtant un formidable espace de vie. Véritable ville dans la ville, ses habitants de toutes origines partagent un territoire commun où l’entraide, l’ouverture d’esprit et l’amitié sont des qualités nécessaires pour le « bien vivre ensemble ». Cette expérience a considérablement marquée, enrichie et inspirée la future autrice de documentaires pour France Culture.   Pour sa première collaboration avec ARTE Radio, elle a retrouvé ses anciens voisins et camarades d’école pour qu’ils lui racontent comment ils avaient grandi dans leur cité. Fascinée par la vie des garçons qui occupaient l’essentiel de l’espace, elle a voulu à travers leurs récits faire entendre les valeurs souvent positives qui animent les jeunes des quartiers populaires, tout en questionnant la masculinité de ce territoire. Les gars de Paga« Ma cité s’appelait « Paganini », mais pour nous c’était Paga. Une cité de l’Est parisien. Une cité populaire du XXe arrondissement, sortie de terre au milieu des années 80. 20 bâtiments, 600 logements, 2000 habitants, un parc, une école, un cabinet médical, un magasin alimentaire, un coiffeur et deux restaurants. Je suis arrivée à Paga à 6 ans en 85. J’en suis partie à 22 ans en 2001. 15 ans dans l’appartement 73, 7e étage, bâtiment 7.Vivre à Paga dans ces années-là, selon qu’on soit une fille ou un garçon, ce n’est pas la même chose. A l’extérieur, ce territoire semble exclusivement masculin. Les garçons qui y habitent sont aussi les gardiens de la cité. Des halls au parking, des toits aux caves, ils en détiennent les clés. Ils l’occupent, ils la squattent, la défendent, se battent pour elle… Ils la malmènent mais l’aiment profondément.C’est cette histoire que racontent Cédric, Charlin, Samir, Robinson, Franck, Madala, Mohamed, Giscard, Tarik, Rodney, Silvio, Guillaume et Kassim. Pendant 9 épisodes, ils évoquent leur arrivée au quartier, leur amitié depuis l’école primaire à l’âge adulte, la mixité des origines et des religions, la petite délinquance, mais aussi les guerres de territoires entre cités pourtant identiques, la « charriance » des vannes et du langage, le rapport compliqué aux filles, le démantèlement de la cité et pour finir l’héritage de cette expérience commune.
    Cette série est dédiée à la mémoire de Cédric alias « Timer », celui qui n’avait jamais le temps, et qui nous a quittés prématurément à l’automne 2020. » Seham Boutata produit des documentaires radiophoniques sur France Culture : « Mon passé composé d’Algérie » (Figures Libres), « Islam sur le divan » (LSD,RTBF, RTS), « Le chant du chardonneret » et « Alger rouge et panthères noires » (Une Histoire particulière), « L’élégance du chardonneret » (Création on air, RTBF, RTS) et quelques Pieds sur terre. Elle est également autrice d’un récit littéraire « La mélancolie du maknine », paru au Seuil en 2020.


    Enregistrements : octobre 2020-février 2021 - Réalisation, musique originale et mix : Samuel Hirsch - Prise de son, texte, voix : Seham Boutata - Illustration : Clément Richard - Production : ARTE Radio

    - Musique originale : Samuel Hirsch

  • Ma vie de journaliste sur le terrain

    Lassée d’être dans le viseur des autorités israéliennes et épuisée par ses conditions de travail ultra-précaires, Marine Vlahovic décide de quitter Ramallah et son costume de correspondante. Un départ à la fois libérateur et déchirant. A son retour en France, la journaliste continue de subir des pressions des organisations militantes et, pour la première fois, elle est confrontée à la censure. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
    Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
    Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.


    Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio

    - Musique originale : Arnaud Forest

  • Ma vie de journaliste sur le terrain

    Les balles des snipers israéliens sifflent à la frontière entre la bande de Gaza et l’Etat hébreu, et frôlent l'oreille de la journaliste. Marine Vlahovic navigue entre ces deux mondes séparés par un mur de béton et de haine. En Terre sainte, ce n’est pas une mais trois religions qui rythment sa vie personnelle et professionnelle. Prise à partie par les soldats et les colons, la journaliste tente de sauver une vieille amitié mise à rude épreuve par ce conflit qui n’est pas le sien. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
    Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
    Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.


    Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio

  • Ma vie de journaliste sur le terrain

    Dans les Territoires occupés, les manifestations se suivent et se ressemblent et la nouvelle Intifada tarde à éclater. En attendant la “guerre promise” et leur heure de gloire, les journalistes font la bringue. A Ramallah, Marine Vlahovic enchaine les soirées arrosées et les histoires sans lendemain avec des amants des deux côtés du Mur alors que les bombes tombent sur la bande de Gaza. Un territoire verrouillé que la correspondante découvre en tournant sur place des reportages télévisés “à sensation”. Avant de couvrir les convulsions qui secouent l’enclave depuis chez elle, en pyjama.  - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
    Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.


    Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio

  • Ma vie de journaliste sur le terrain

    Comme les bouquets de feu d'artifice qui fusent dans le ciel de Ramallah, "Marine la machine" a la tête qui explose. Depuis sa maison-studio, elle produit de l'information à la chaîne. Un contre-la-montre au diapason des rédactions parisiennes sous le règne de l'urgence et de la pression. Dopée au café-clopes, la correspondante jongle entre les commandes imprévues, les conférences de presse interminables de l'Autorité palestinienne, les micro-trottoirs prétextes et les reportages chronométrés aux quatre coins des Territoires pour alimenter le flux de l'actualité. - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast Festival
    Carnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information.
    Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.


    Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio

  • Ma vie de journaliste sur le terrain

    Etre journaliste au Proche-Orient, c’est le Graal de la profession. Quand le poste de correspondant en Palestine s’est libéré en 2016, Marine Vlahovic a sauté sur l’occasion et s’est installée dans une maisonnette avec jardin en bordure de Ramallah. C’est le début d’une vie en alerte et sous pression, coincée dans les embouteillages au checkpoint, loin du quotidien fantasmé des reporters de guerre.  - Prix Scam du podcast documentaire 2021 - Paris Podcast FestivalCarnets de correspondante De 2016 à 2019, Marine Vlahovic est correspondante pour les radios publiques francophones en Palestine. Chaque jour elle jongle entre les urgences des rédactions, l’attente aux checkpoints, les pressions des deux camps et sa vie personnelle en territoire occupé. Elle enregistre tout, et aujourd’hui elle raconte tout : un podcast exceptionnel, intime et sans concession sur la fabrique de l’information. 
    Journaliste depuis 2009, Marine Vlahovic a fait ses armes avec ARTE Radio avant de vivre et travailler autour de la Méditerranée pour différents médias francophones. Son reportage “Amours occupées ” (ARTE Radio) a remporté le prix Découverte-URTI en 2012. De 2016 à 2019 elle a été correspondante en Palestine pour les radios publiques francophones.


    Enregistrements : novembre 2016 à mars 2021 - Prises de son, texte, voix, montage : Marine Vlahovic - Réalisation : Marine Vlahovic et Arnaud Forest - Mix et musique originale : Arnaud Forest - Illustrations : Yasmine Gateau - Production : ARTE Radio


    - Musiques originales : Arnaud Forest

  • Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 3

    River a 13 ans la première fois qu’elle rencontre Hulan sur l'Île aux Rochers, l’univers paradisiaque de Lifespan. L’adolescent vit dans une petite ville en Picardie et River sait que cela prendra du temps avant qu’elle puisse rencontrer "pour de vrai" son premier amour. Mais Hulan joue-t-il à un jeu ou prend-il leur amour au sérieux ?
    Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
    Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
    Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
    Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
    Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.


    Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Sarah-Megan Allouch (River), Théophile Fontaine (Hulan) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné

    - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Chant :Mathilde Ortscheidt - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff

  • Trouver l’amour dans un jeu vidéo : niveau 2

    Erwan est un mage solitaire. Lui qui aime tant soigner ses coéquipiers sur le champ de bataille ne veut plus jouer avec les autres, sous prétexte qu’il est trop fort pour eux. Mais à Artheros, monde heroïc-fantasy de Lifespan, ce jeune gamer mal dans sa peau va rencontrer une joueuse hors pair qui lui fera quitter sa solitude…
    Game LoverToute une nuit, une jeune femme armée d’un bazooka arpente une jungle extraterrestre à la recherche de son amour. Elle ignore que pendant ce temps, sur deux autres serveurs, quatre adolescents s’aiment désespérément et s’éprouvent lors de combats sanglants. Dans Lifespan, jeu vidéo fictif où cohabitent un univers galactique (Calycé), un monde médiéval (Arthéros) et une utopie paradisiaque (L’île aux rochers), les relations naissent dans des paysages surréalistes, au gré de batailles trépidantes et de quêtes pour rendre le monde meilleur. Une vie aventureuse très différente de celle menée IRL (in real life) où on se tape un quotidien plan-plan, une gueule de merde, un monde inégalitaire pollué et par-dessus tout des parents chiants.Suite à un appel à témoignages sur les réseaux sociaux et la lecture de récits glanés sur des blogs et des forums, Annabelle Martella et Emilie Mendy, 50 ans à elles deux, ont recueilli une trentaine d’histoires de personnes tombées amoureuses dans des jeux en ligne (World of Warcraft, League of Legends etc.) À partir de ces histoires vraies, elles ont écrit ce podcast qui retrace les trajectoires fictives de Léa, Erwan puis River (Morgane de son vrai nom), trois jeunes adultes qui découvrent loin des contraintes du monde extérieur leurs désirs et qui ils sont vraiment.
    Ressources et inspirations : - Intimités amoureuses à l’ère du numérique. Le cas des relations nouées dans les mondes sociaux en ligne, d’Amaranta Cecchini, Editions Alphil, 2015- Jouir dans le cyberespace, initiation au plaisir virtuel, article de l’artiste Yann Minh dans la revue Terrain, 2017- Ils se sont aimés sur un MMORPG, article de Bruno Lus sur Vice, 2019- « On se baladait dans Azeroth... » : l’amour dans « World of Warcraft », article de Jeanne Mayer sur Rue89, 2016- Le court-métrage, Notre amour est assez puissant de Jonathan Vinel, 2014- Le court-métrage, Le soleil dort de Pablo Dury, 2021
    Annabelle Martella, 25 ans, est journaliste indépendante et autrice de fiction. Elle écrit pour les pages culture du journal Libération. En parallèle elle mène une recherche universitaire sur l'imaginaire de la ruralité dans la littérature et le cinéma contemporains.
    Emilie Mendy, 25 ans aussi, est autrice de podcast, documentariste et journaliste. Depuis un an, elle tient la chronique mode “Dress code : street” sur Mouv’. Ses sujets de prédilections concernent les contre-cultures et les populations marginalisées. Elle est en cours d’écriture d’un podcast sur le colorisme chez les Noirs de France, et travaille à un documentaire sur la mort d’Adama Traoré depuis 2016. Elle avait déjà collaboré avec Annabelle Martella sur la prostitution des jeunes filles sur Snapchat pour la société de production Premières Lignes.
    Paul Régimbeau alias Mondkopf, 34 ans, est un compositeur français de musique électronique. Après plusieurs albums et EP, il fonde en 2012 son propre label In Paradisum. Pour Game Lover il a créé un thème musical propre à chaque univers.


    Enregistrements : 2020-21 - Enquête, texte et montage : Annabelle Martella et Emilie Mendy - Réalisation : Sabine Zovighian et Samuel Hirsch - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Dramaturgie et direction d’acteurs : Sabine Zovighian - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff - Illustrations : Xavier Lissillour - Avec : Quentin Dolmaire (Erwan), Gabrielle Varoquier (Emma) - Remerciements : Antoine du Jeu, Camille Varoquier et tous les gamers qui ont témoigné

    - Musique originale : Mondkopf et Samuel Hirsch - Chant :Mathilde Ortscheidt - Sound design : Samuel Hirsch et Léon Nikonoff